Kiss György kiállítása (Nyíregyháza, 1984)

Outre les ouvrages nés des commissions pour telle ou telle occasion qui portent les traces de l’esclavage des conventions des clients, ce sont par ses petits objets de bronze formés librement, par ses intentions artistiques autonomes qu’il put matérialiser totalement ses rêves, formuler ses idéals. L’auteur porte tous ses efforts sur l’abstraction. Sur ses tableaux ainsique sur ses plastiques on ne trovue que sporadiquement des indications, des éléments de la réalité — une partie d’un corps, une sil­houette humaine stylisée, un motif architectural. Et c’est son secret. Entre les limites fixées, sur un bronze grand comme la main, l’exigence d’attraper les dimensions de l’infini n’est pas seulement une illusion ou un espoir mince, mais déjà une conclusion chargée de soucis et de doutes, une conclusion sûre qui prit sa naissance dans la lutte de la raison et de l’émotion. Une conclusion qui peut être le po­int de départ pour le spectateur. Tibor Wehner

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