Nagy Francia Enciklopédia - Táblagyűjtemény 1. kötet, 1762 (Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers)

Architecture et parties qui en dépendent

ET PARTIES QUI EN DEPENDENT. 17 Fig. 14Z. Civiere. I4Q Scie fans dents. 144. Cuillère de fer. PLANCHE XIII. Fig. 14 ç. Scie avec dents. 146". Scie à main avec dents. 147. Demoifelle. A, la malle de fer. 145. Scie à main fans dents. 147. Fiche. i so. Brancard. 1 î 1. Bouriquet. a çi. Manivelle. A, le boulon de fer qui la traverfe. i f j. Mouton. A, pilot, B. billot de bois, vulgairement appelle mouton. C, cordage. D, poulies. E, loi du mouton. Les pièces aflembiées avec celles qu’on nomme fol du mouton, forment la fourchette. Voyez en G {jïg. 160. ) cette partie. G, montant. H, bras ou liens. I, ranche. K, jambette. 1 f4. Echafaud. A, mur. B, ccrches. C, boulins. D, planches. 1 f f. Sonde avec fes pièces. A , le manche. B, B, B, trin­gles de fer. C, vis. D, douille. E, cuilliere. F, fraife. if6. Chevre. A , treuil. B, cordage. C, levier. D, pou­lies. E, bras. F, traverfes. 1 f7. Cabeftan ou vindas. A, levier. B, treuil. D, cor­dage. 1 i<jp. Leviers ou boulins. 160. & 161. Grueau. A, levier. B, treuil. C, cordage. D, poulie. E, poids. F, fol du grueau. G, four­chette. Les pièces aflèmblées avec le loi ôc aboutif­­fantes en L, s'appellent bras, I, jambette-K, ran­che, grand Ôc petit. L, fellette. M, poinçon. N, lien. O, moifes. î6i. La partie fupcrieure du grueau. A, poinçon. B , fellette. C, fauconneau. D , liens. E , cordage. F , poulie. 161. Grue. B, treuil avec le tambour ou la rue.C, cable. D, poids. E, empâtement. F, aibre. G, contre­­fiches. H, poinçon. I, ranche; le pié du ranche traverfe la piece appel’éefoûpente. K, liens. L, les petites moifes. M, la grande moife. O, le mame­lon du treuil. P, la lumière. 165. B, louve. C, louveteau D, elfe. 1C4 Cifeau à louver. CARRI ER-P LATRIE R. L a vignette repréfente une parue de carrière dans une colline efcarpce ; la malle en efi percée par diffé­rentes rues d’où l’on a tiré la pierre de plâtre, que l’on conduit fur des bctes de fomme (jïg. 16.) au four (Jig. 17. ) Fig. 1. z. 5.4. Coins de différentes longueurs ôc épaif­­feurs, qui fervent a'S carrier pour détacher les uns des autres les differens lus de pierre à plaire ou gips. f. Sac rempli de plâtre. 6. Sac vuide. 7. Mailloche. 8. Pelle. y. Mail dont le carrier fe fert pour frapper fur la tête des coins. 10. Pic. 11. Aiguille qui fort au carrier pour réferver un vuide dans le canal de la mine, pour communiquer le feu à la poudre dont elle efi: chargée. 13. Tarriere fervant à percer la mine. 14. Profil d’une mine percée avec la tarriere ôc chargée de poudre, ôc l’aiguille qui laiffe un paflâge, apres qu’elle effc retirée, pour introduire 1 amorce, que l’on conduit dans des tuyaux de paiile jufqu a la poudre au fond de lamine, qui elt fermée par un coulis de plâtre. i Barre ou pince fervant à foûlever les lits de pierre. Archùeclure. TUILERIE. PLANCHE Iere. L a vignete repréfente une tuilerie & tous les bâtimens néceffaires. A, B, C, le fourneau adoffé à un terrein élevé par le­quel on monte au-deflus. Les murailles font forti­fiées ôc foutenues par des contre-forts C, C, entre lelauels ii y a deux portes pour entrer dans le four­neau. Voyez l’explication de la Planche III. D, E, la halle dans laquelle on calibre le carreau ôc ori le met fécher à l’ombre, ainfî que la tnile.F,mou­­lerie. Elle a plufîeurs ouvertures ou fenêtres. Le mouleur, qui efi au-dedans de ce bâtiment, donne au coucheur les tuiles ou planchettes à mefiire qu’il les a moulées, La fenêtre S fermée par une toile pendante, fert â introduire le fable dont le mou­leur a befoin pour fécher fon moule ôc le bloc fur lequel il travaille. L’ouverture <7 fert à tirer au de­hors le fable qui tombe aux piés au mouleur. Les autres ouvertures p, auiTi fermées par des toiles, répondent ci la partie de ce bâtiment où on marche la terre glaife. Derrière ce bâtiment efi: une folle dans laquelle on détrempe la terre glaife. On voit une de ces folles en m ; elle efi: ordinairement en­tourée de glaife feche ôc concallée en petits mor­ceaux. r, tonneau ou baquet rempli d’eau, ôc en­terré de prefque toute fa hauteur, ôc à moitié re~ couvert par une planche. Le coucheur y trempe les planchettes fur lefquelles il tranfporte la tuile, n, petit pont ôc bafcule fervant à puifer l’eau nécellaire, qui coule par des rigoles dans les foilès â tremper. Fig. 1. Ouvrier qui prépare ôc applanit une aire ou place d,e,f\ couverte de fable, pour mettre fécher les moulées. z. Coucheur qui étend fur la place a, 3, d, les tuiles ou planches de terre que le mouleur lui a fournies; il les tranfporte en le fervant de petits ais de bois qu’on nomme anfiiplanchettes, fur les aires ou pla­ces où il les bille fécher. 3. Leveur qui rafiémble les planches ou tuiles quand elles font prefque féches, pour les tranfporter dans la halle couverte D , E. 4. Ouvrier qui marche la terre glaife, c’efi-à-dite qui la pétrit avec les piés. La terre fuffifamment cor­royée, efi: tranfportée â la pelle fur le banc à-terre qui efi: à droite du mouleur. ç. Le mouleur placé debout devant le bloc c, ôc entre les deux mafiits E, C, qu’on nomme bancs. Le pre­mier efi defiiné â recevoir la terre corroyée qu’on voit en D ; ôc le fécond C, le fable A avec lequel il fàupoudre le moule & le bloc fur lequel il travaille. Le fable cft retenu fur le banc par des planches ap­puyées fur le talfeau B, ôc un femblable fixé à la muraille oppofée. a, planchette que le mouleur applanit avec le racle, b, l’auget plein d'eau, dans lequel le mouleur met tremper le racle, dplan­chette de bois avec laquelle le coucheur tranfporte les planches pour les faire fécher fur les aires ou places. E, ouverture par laquelle on retire le fable qui efi tombé aux piés du mouleur. 6. Plan de l’attelier du mouleur. M, la folfe où on dé­trempe la terre glaife. Q , fenêtre par laquelle on la jette dans la marche, qui efi l’efpace entre P &R. P, R, ouvertures pour entrer dans la marche: on les ferme avec des toiles. E, banc-à-terre. B, place du mouleur. C, banc â fable, s, fenêtre par laquelle on jette le fable fur le banc, c, bloc, b , l’auget. F, place du coucheur. D, tonneau ou baquet plein d’eau, dans lequel le coucheur trempe fes plan­chettes. 7. Moule â tuile de petit moule. Ce chaffis, qui a un demi-pouce d’épaifieur, a intérieurement neuf â dix pouces de longueur fur lix de large. Il a une échancrure a qui reçoit la terre avec laquelle ls coucheur forme le crochet de la tuile.E

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